"Pour mesurer un cercle, on commence n'importe où.
[...] C'est un cercle constitué de chiens noirs et de bûchers en novembre, de pieds morts et de têtes tranchées, de souhaits, de regrets et de désirs.
[...] Commencez où vous voudrez: le début et la fin sont deux bons choix, mais un cercle commence n'importe où, comme un bûcher.
Ne vous fiez pas aux histoires, ni à la ville, ni même à l'homme qui raconte les histoires. Ne vous fiez qu'à la voix du feu."
[...] C'est un cercle constitué de chiens noirs et de bûchers en novembre, de pieds morts et de têtes tranchées, de souhaits, de regrets et de désirs.
[...] Commencez où vous voudrez: le début et la fin sont deux bons choix, mais un cercle commence n'importe où, comme un bûcher.
Ne vous fiez pas aux histoires, ni à la ville, ni même à l'homme qui raconte les histoires. Ne vous fiez qu'à la voix du feu."
-Neil Gaiman-
2 commentaires:
J'ai aimé ta petite phrase anglaise.
Tenter de faire le tour d'un cercle sans repères et sans passer deux fois au même endroit..
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